Première expérience de TCI avec Monique et Jacques Blanc-Garin
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Première expérience de TCI avec Monique et Jacques Blanc-Garin
Première expérience de TCI avec Monique et Jacques Blanc-Garin
Quels sont les moyens les plus communément utilisés pour contacter les esprits disparus ? Les médiums, le oui-ja, les tables tournantes, l’écriture inspirée, la clairaudiance, psychométrie (contacts à l’aide d’une photo ou objet familier du disparu) et la TCI (Transcommunication instrumentée). Ce dernier mode de communication est de nos jours le plus répandu et surtout celui que tout un chacun peut aborder – avec quelques conseils et précautions-, le plus facilement.
Notre propre expérience confirme que la TCI est certainement le moyen de contact avec les esprits désincarnés non seulement le plus facile à mettre en œuvre mais celui qui donne les résultats les plus troublants.
Il est utile de vous exposer pourquoi ce mode de communication est préférentiellement utilisé.
Une première expérience bouleversante
Je vais être amené à vous conter comment pour la première fois j’ai découvert cette technique.
En 1998 je suis invité à donner une conférence sur la parapsychologie scientifique dans le cadre d’une association dont l’un des buts est l’accompagnement des personnes dans la souffrance du deuil.
D’autres intervenants étaient invités, dont l’association « Infinitude ». Cette dernière nous proposa, lors de son intervention, une expérience de TCI à l’aide d’un magnétophone.
Je dois à la vérité de confesser que mon esprit scientifique était assez circonspect devant cette tentative de capter des « voix » de disparus.
Jacques Blanc-Garin (président de l’association « Infinitude ») demande si quelqu’un souhaite un contact. Une jeune femme se manifeste alors et venant de perdre son jeune frère dans un accident de moto, demande si il est possible d’établir un contact avec son esprit disparu.
Le deuil est récent et son intense émotion gagne toute l’assistance. Jacques n’a pas à demander le silence qui s’est tout naturellement établi.
Puis l’expérience proprement dite commence. Le magnétophone est mis en marche, le micro est proche d’un carton que l’opérateur gratte légèrement à l’aide du dos d’un stylo.
Puis après cinq minutes et le rembobinage de la bande magnétique, Jacques nous invite à écouter attentivement en nous rapprochant du haut parleur.
A vitesse normale de déroulement de la bande nous percevons quelques variations sonores par rapport au bruit de fond normal du magnétophone.
Ce dernier comportant un ralentisseur, l’opérateur ralentit uniquement sur les« pics » sonores différents. Et à ma stupéfaction, au ralenti, ces points particuliers ainsi décryptés nous donnent çà et là des mots. Il est clair que l’habitude de la pratique de la TCI permet de mieux les discerner.
La jeune femme fond en larmes, car les quelques mots extraits de l’enregistrement étaient, pour certains, typiques de ce que son jeune frère disait de son vivant !
Monique et Jacques Blanc-Garin (association « Infinitude ») oeuvrent pour une approche toujours plus pointue dans la recherche en TCI et ce, dans un contexte de grande spiritualité.
Une approche scientifique de la transcommunication instrumentée
Cette expérience qui me bouleversa fut à l’origine de mon approche scientifique sur tous les phénomènes dits de « l’au-delà ».
L’émotion passée, j’ai essayé d’analyser tous les détails de l’expérience et tenter de déceler un ou plusieurs « artefacts » qui auraient pu invalider la démonstration.
Ne nous méprenons pas, il n’était pas question pour moi de remettre en question la bonne foi de Jacques et Monique – d’ailleurs le futur m’a prouvé amplement que j’aurais eu tort de le faire. Mais on peut, en toute bonne foi, être dans l’erreur ou l’imprécision.
Pourquoi ce stylo sur un carton ? Pourquoi ralentir le déroulement de la bande, à l’écoute ?
Bref, j’ai essayé de faire un état des lieux de la TCI et j’ai eu l’occasion d’assister à d’autres expériences qui m’ont laissé perplexe : tantôt dans la conviction, tantôt dans l’ incertitude.
Après des mois d’études, d’observations et d’interviews, je me rendis à l’évidence : les faits plaidaient largement en la faveur de la réalité de contacts possibles avec les esprits des défunts, via la TCI.
Une à une mes questions trouvaient réponse : par exemple pourquoi ce ralentisseur sur le magnétophone ? Et ce bruit de fond : carton, eau qui coule du robinet (autre bruit de fond utilisé) était-ce bien nécessaire ?
Un des éléments majeurs de ma conviction fut les affirmations d’ingénieurs du son qui m’affirmèrent -chacun de leur côté -, que l’analyse des sons des voix supposées de l’au-delà sont totalement différentes des voix des êtres vivants.
Cette constatation à elle seule doit nous interpeller.
Article signé Jean-Pierre Girard
Jean-Pierre Girard : Expert Besoin de Savoir
Quels sont les moyens les plus communément utilisés pour contacter les esprits disparus ? Les médiums, le oui-ja, les tables tournantes, l’écriture inspirée, la clairaudiance, psychométrie (contacts à l’aide d’une photo ou objet familier du disparu) et la TCI (Transcommunication instrumentée). Ce dernier mode de communication est de nos jours le plus répandu et surtout celui que tout un chacun peut aborder – avec quelques conseils et précautions-, le plus facilement.
Notre propre expérience confirme que la TCI est certainement le moyen de contact avec les esprits désincarnés non seulement le plus facile à mettre en œuvre mais celui qui donne les résultats les plus troublants.
Il est utile de vous exposer pourquoi ce mode de communication est préférentiellement utilisé.
Une première expérience bouleversante
Je vais être amené à vous conter comment pour la première fois j’ai découvert cette technique.
En 1998 je suis invité à donner une conférence sur la parapsychologie scientifique dans le cadre d’une association dont l’un des buts est l’accompagnement des personnes dans la souffrance du deuil.
D’autres intervenants étaient invités, dont l’association « Infinitude ». Cette dernière nous proposa, lors de son intervention, une expérience de TCI à l’aide d’un magnétophone.
Je dois à la vérité de confesser que mon esprit scientifique était assez circonspect devant cette tentative de capter des « voix » de disparus.
Jacques Blanc-Garin (président de l’association « Infinitude ») demande si quelqu’un souhaite un contact. Une jeune femme se manifeste alors et venant de perdre son jeune frère dans un accident de moto, demande si il est possible d’établir un contact avec son esprit disparu.
Le deuil est récent et son intense émotion gagne toute l’assistance. Jacques n’a pas à demander le silence qui s’est tout naturellement établi.
Puis l’expérience proprement dite commence. Le magnétophone est mis en marche, le micro est proche d’un carton que l’opérateur gratte légèrement à l’aide du dos d’un stylo.
Puis après cinq minutes et le rembobinage de la bande magnétique, Jacques nous invite à écouter attentivement en nous rapprochant du haut parleur.
A vitesse normale de déroulement de la bande nous percevons quelques variations sonores par rapport au bruit de fond normal du magnétophone.
Ce dernier comportant un ralentisseur, l’opérateur ralentit uniquement sur les« pics » sonores différents. Et à ma stupéfaction, au ralenti, ces points particuliers ainsi décryptés nous donnent çà et là des mots. Il est clair que l’habitude de la pratique de la TCI permet de mieux les discerner.
La jeune femme fond en larmes, car les quelques mots extraits de l’enregistrement étaient, pour certains, typiques de ce que son jeune frère disait de son vivant !
Monique et Jacques Blanc-Garin (association « Infinitude ») oeuvrent pour une approche toujours plus pointue dans la recherche en TCI et ce, dans un contexte de grande spiritualité.
Une approche scientifique de la transcommunication instrumentée
Cette expérience qui me bouleversa fut à l’origine de mon approche scientifique sur tous les phénomènes dits de « l’au-delà ».
L’émotion passée, j’ai essayé d’analyser tous les détails de l’expérience et tenter de déceler un ou plusieurs « artefacts » qui auraient pu invalider la démonstration.
Ne nous méprenons pas, il n’était pas question pour moi de remettre en question la bonne foi de Jacques et Monique – d’ailleurs le futur m’a prouvé amplement que j’aurais eu tort de le faire. Mais on peut, en toute bonne foi, être dans l’erreur ou l’imprécision.
Pourquoi ce stylo sur un carton ? Pourquoi ralentir le déroulement de la bande, à l’écoute ?
Bref, j’ai essayé de faire un état des lieux de la TCI et j’ai eu l’occasion d’assister à d’autres expériences qui m’ont laissé perplexe : tantôt dans la conviction, tantôt dans l’ incertitude.
Après des mois d’études, d’observations et d’interviews, je me rendis à l’évidence : les faits plaidaient largement en la faveur de la réalité de contacts possibles avec les esprits des défunts, via la TCI.
Une à une mes questions trouvaient réponse : par exemple pourquoi ce ralentisseur sur le magnétophone ? Et ce bruit de fond : carton, eau qui coule du robinet (autre bruit de fond utilisé) était-ce bien nécessaire ?
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Article signé Jean-Pierre Girard
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