Jean Pernin : « Le 13 janvier 2004, j'ai reçu un message de Daniel Balavoine »
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Jean Pernin : « Le 13 janvier 2004, j'ai reçu un message de Daniel Balavoine »
Jean Pernin : « Le 13 janvier 2004, j'ai reçu un message de Daniel Balavoine »
C'est à partir de janvier 2004 que Jean Pernin reçoit des messages de son fils Olivier disparu et de Daniel Balavoine.
Daniel Balavoine est décédé dans un accident d'hélicoptère le 14 janvier 1986 au cours du rallye Paris-Dakar.
Il était accompagné de quatre personnes dont Thierry Sabine, l'organisateur du rallye.
À travers les messages qu'il semble adresser, Daniel Balavoine contredirait formellement la thèse officielle de l'accident.
Des messages susceptibles de semer le doute dans les esprits les plus avertis mais confirmés par des témoignages et des inexactitudes dans l'enquête officielle...
La démarche de Jean Pernin ne s'inscrit dans aucun but commercial. Daniel Balavoine a lui seul choisi le moment de se manifester... Que penser de tout cela ? Faut-il y voir la main du destin ou une autre implication ?
Jean Pernin a bien voulu nous expliquer son expérience avec l'Au-delà et sa rencontre avec Daniel Balavoine. Même si tout fait se doit d'être pris avec un minimum de précautions, son témoignage mérite que l'on s'y attarde et que l'on y prête attention.
Balavoine, sa vie, ses batailles « Au-delà » des apparences
Comment se sont établis les contacts médiumniques avec Daniel Balavoine ?
Jean Pernin : Je communiquais avec mon fils Olivier depuis 1995 qui se manifestait de façon très concrète : téléviseur qui s'allumait et s'éteignait, changement de chaîne intempestif, odeur de parfums, bruits étranges, chuchotements, voix robotisée, apparitions, caresses de chevelure, apparition d'un visage etc... Je n'étais pas préparé à de telles retrouvailles.
J'ai éprouvé un ressenti inexplicable qui m'a permis d'établir le dialogue.
C'est Olivier qui m'a guidé dans cette incroyable aventure. Il me transmettait des messages personnels. Il me faisait part également de messages d'autres personnes destinés à leurs proches pour les rassurer. Parfois ces messages concernaient aussi l'évolution du monde et de l'humanité.
En 1996, je reçois un message d'Olivier : Daniel est mon ami, mon fidèle compagnon... Tout est parti de là. Je pensais à un ami qui lui aussi désirait se manifester. Mais il est devenu insistant pour se faire reconnaître. J'ai compris que j'avais affaire à Daniel Balavoine.
J'ignorais encore à cette époque où ce premier contact établi allait m'entraîner. Une enquête, certes, officieuse m'attendait mais ô combien enrichissante dans ma quête de la vérité.
L'au-delà m'est apparu tout à la fois vivant et vibrant. J'ai appris à reconnaître les signes de l'au-delà et à les interpréter.
Quels messages vous a-t-il transmis ?
Jean Pernin : Comme grand nombre de personnes, je croyais à l'hypothèse de l'accident. Je n'avais jamais cherché à approfondir cet événement. Cela m'est venu subitement. C'est à travers l'hommage qui lui était rendu pour l'anniversaire de sa disparition début janvier 2004 que j'ai compris qu'une intrigue enveloppait la mort de Daniel.
Cela m'est apparu très concrètement.
Le 13 janvier 2004, j'ai reçu un message de Daniel Balavoine. Il parlait de l'évolution dangereuse de notre société, des politiciens qui nous gouvernaient, des citadelles qu'il nous fallait ébranler. Il mettait en garde sur le devenir de l'humanité.
Pas un mot sur les circonstances de sa mort ! Malgré son passage dans l'autre monde, l'engagement de Daniel Balavoine n'avait pas faibli. Il faut reconnaître qu'il n'était pas juste un chanteur très connu mais aussi un visionnaire, un homme à la volonté infaillible, un incorruptible
Infatigable et un fervent défenseur des valeurs morales et des libertés. Il a poursuivi son engagement depuis le monde devenu le sien depuis son départ.
C'est en février 2004, que j'ai reçu un second message de Daniel Balavoine et de ses amis qui souhaitaient faire la lumière sur cet accident. Il n'y a eu aucune dénonciation, ni aucun nom prononcé. Il n'était pas en révolte. Ils les appelaient « Chers assassins ».Il demandait aux éventuels coupables d'avouer leur faute et de se dénoncer.
Il m'a entraîné dans une enquête passionnante. Il m'a donné la mission de provoquer les consciences et de rétablir la vérité.
Jean Pernin, auteur de « Passeport vers l'au-delà » publié aux éditions Louise Courteau (2003)
La thèse officielle remise en cause depuis l'au-delà
Pensez-vous qu'un jour, la vérité sera faite ?
Jean Pernin : Je pense effectivement que la vérité jaillira d'elle-même. La pression sur la conscience existe. Les maillons faibles se trahiront. C'est un secret très lourd à porter et parfois, il y a un événement, un fait qui fait tout remonter.
La mort de Daniel Balavoine n'apparaît pas comme naturelle. Il y a autour de cette disparition une intrigue sans doute politique. Daniel Balavoine dérangeait fortement à l'époque le pouvoir en place. Il l'a payé.
Il y a trop de zones d'ombre, des coïncidences, des faits inexpliqués et incohérents : l'accident n'aurait pas eu lieu le 14 janvier mais le 13 janvier, un ancien diplomate basé dans un pays voisin du Mali confirme la date du 13 janvier et évoque des blessés non des personnes décédées.
Un ex-pilote de l'armée récuse la thèse de l'accident en ces lieux faciles à survoler, un témoin assiste au crash de l'hécicoptère et ne prévient que trois heures plus tard, le carnet de bord sort intact des débris de l'appareil, on évoque des cercueils blindés etc...
Autant de doutes et de questions qui sont restés en suspens sans que personne n'ait souhaité y apporter des éclaircissements. Cela mérite que l'on s'interroge même après toutes ces années.
Ne trouvez-vous pas qu'il y a trop de faits troublants dans cette histoire pour se rallier définitivement à la thèse accidentelle ?
Que diriez-vous à ceux qui douteraient de vos contacts avec l'au-delà ?
Jean Pernin : Moi aussi au départ, j'étais très sceptique sur la communication avec l'au-delà. Pourtant, j'ai dû me rendre à l'évidence que cette communication pouvait exister d'abord à travers mon fils.
Je respecte les doutes, l'incrédulité de certains et je ne cherche pas à les convaincre. Toutefois, je leur demanderais de bien réfléchir à ce que l'on acquiert des morts. Il faut se préparer à la suite et corriger nos imperfections avant d'arriver dans l'au-delà. Notre monde de mensonge a un grand et urgent besoin de vérité.
Daniel Balavoine nous met en garde et nous demande de changer nos attitudes sinon l'avenir des générations futures pourrait être bien sombre. Avec ses amis de l'Invisible, il fait simplement pression sur les consciences. Je ne suis qu'un intermédiaire comme d'autres personnes qui œuvrent dans le même sens. Il désire que les âmes des responsables se libèrent d'un poids insupportable.
Si j'avais eu un autre intérêt que de rétablir la vérité, j'aurais questionné mon fils dès 1996 mais je ne l'ai pas fait.
Il faut admettre que cette affaire comporte bien des incohérences. Toutes mes questions sont légitimes.
On ne croit pas à la communication avec l'au-delà tant que l'on n'y a pas été confronté. Cette affaire vise à faire bouger les consciences, à avoir un autre regard.
Autant d'interrogations dont nous aurons sans doute un jour la réponse... Un chemin d'évolution doit encore se faire. Ma réflexion sur la disparition de Daniel Balavoine donnera peut-être un sens à la vérité...
Jean Pernin est l'auteur et le coauteur avec Marie-Madeleine Jacob de deux ouvrages intitulés « Passeport vers l'au-delà »et « Vers un monde d'amour ».
Au-delà (Contacts) sur besoindesavoir.com
C'est à partir de janvier 2004 que Jean Pernin reçoit des messages de son fils Olivier disparu et de Daniel Balavoine.
Daniel Balavoine est décédé dans un accident d'hélicoptère le 14 janvier 1986 au cours du rallye Paris-Dakar.
Il était accompagné de quatre personnes dont Thierry Sabine, l'organisateur du rallye.
À travers les messages qu'il semble adresser, Daniel Balavoine contredirait formellement la thèse officielle de l'accident.
Des messages susceptibles de semer le doute dans les esprits les plus avertis mais confirmés par des témoignages et des inexactitudes dans l'enquête officielle...
La démarche de Jean Pernin ne s'inscrit dans aucun but commercial. Daniel Balavoine a lui seul choisi le moment de se manifester... Que penser de tout cela ? Faut-il y voir la main du destin ou une autre implication ?
Jean Pernin a bien voulu nous expliquer son expérience avec l'Au-delà et sa rencontre avec Daniel Balavoine. Même si tout fait se doit d'être pris avec un minimum de précautions, son témoignage mérite que l'on s'y attarde et que l'on y prête attention.
Balavoine, sa vie, ses batailles « Au-delà » des apparences
Comment se sont établis les contacts médiumniques avec Daniel Balavoine ?
Jean Pernin : Je communiquais avec mon fils Olivier depuis 1995 qui se manifestait de façon très concrète : téléviseur qui s'allumait et s'éteignait, changement de chaîne intempestif, odeur de parfums, bruits étranges, chuchotements, voix robotisée, apparitions, caresses de chevelure, apparition d'un visage etc... Je n'étais pas préparé à de telles retrouvailles.
J'ai éprouvé un ressenti inexplicable qui m'a permis d'établir le dialogue.
C'est Olivier qui m'a guidé dans cette incroyable aventure. Il me transmettait des messages personnels. Il me faisait part également de messages d'autres personnes destinés à leurs proches pour les rassurer. Parfois ces messages concernaient aussi l'évolution du monde et de l'humanité.
En 1996, je reçois un message d'Olivier : Daniel est mon ami, mon fidèle compagnon... Tout est parti de là. Je pensais à un ami qui lui aussi désirait se manifester. Mais il est devenu insistant pour se faire reconnaître. J'ai compris que j'avais affaire à Daniel Balavoine.
J'ignorais encore à cette époque où ce premier contact établi allait m'entraîner. Une enquête, certes, officieuse m'attendait mais ô combien enrichissante dans ma quête de la vérité.
L'au-delà m'est apparu tout à la fois vivant et vibrant. J'ai appris à reconnaître les signes de l'au-delà et à les interpréter.
Quels messages vous a-t-il transmis ?
Jean Pernin : Comme grand nombre de personnes, je croyais à l'hypothèse de l'accident. Je n'avais jamais cherché à approfondir cet événement. Cela m'est venu subitement. C'est à travers l'hommage qui lui était rendu pour l'anniversaire de sa disparition début janvier 2004 que j'ai compris qu'une intrigue enveloppait la mort de Daniel.
Cela m'est apparu très concrètement.
Le 13 janvier 2004, j'ai reçu un message de Daniel Balavoine. Il parlait de l'évolution dangereuse de notre société, des politiciens qui nous gouvernaient, des citadelles qu'il nous fallait ébranler. Il mettait en garde sur le devenir de l'humanité.
Pas un mot sur les circonstances de sa mort ! Malgré son passage dans l'autre monde, l'engagement de Daniel Balavoine n'avait pas faibli. Il faut reconnaître qu'il n'était pas juste un chanteur très connu mais aussi un visionnaire, un homme à la volonté infaillible, un incorruptible
Infatigable et un fervent défenseur des valeurs morales et des libertés. Il a poursuivi son engagement depuis le monde devenu le sien depuis son départ.
C'est en février 2004, que j'ai reçu un second message de Daniel Balavoine et de ses amis qui souhaitaient faire la lumière sur cet accident. Il n'y a eu aucune dénonciation, ni aucun nom prononcé. Il n'était pas en révolte. Ils les appelaient « Chers assassins ».Il demandait aux éventuels coupables d'avouer leur faute et de se dénoncer.
Il m'a entraîné dans une enquête passionnante. Il m'a donné la mission de provoquer les consciences et de rétablir la vérité.
Jean Pernin, auteur de « Passeport vers l'au-delà » publié aux éditions Louise Courteau (2003)
La thèse officielle remise en cause depuis l'au-delà
Pensez-vous qu'un jour, la vérité sera faite ?
Jean Pernin : Je pense effectivement que la vérité jaillira d'elle-même. La pression sur la conscience existe. Les maillons faibles se trahiront. C'est un secret très lourd à porter et parfois, il y a un événement, un fait qui fait tout remonter.
La mort de Daniel Balavoine n'apparaît pas comme naturelle. Il y a autour de cette disparition une intrigue sans doute politique. Daniel Balavoine dérangeait fortement à l'époque le pouvoir en place. Il l'a payé.
Il y a trop de zones d'ombre, des coïncidences, des faits inexpliqués et incohérents : l'accident n'aurait pas eu lieu le 14 janvier mais le 13 janvier, un ancien diplomate basé dans un pays voisin du Mali confirme la date du 13 janvier et évoque des blessés non des personnes décédées.
Un ex-pilote de l'armée récuse la thèse de l'accident en ces lieux faciles à survoler, un témoin assiste au crash de l'hécicoptère et ne prévient que trois heures plus tard, le carnet de bord sort intact des débris de l'appareil, on évoque des cercueils blindés etc...
Autant de doutes et de questions qui sont restés en suspens sans que personne n'ait souhaité y apporter des éclaircissements. Cela mérite que l'on s'interroge même après toutes ces années.
Ne trouvez-vous pas qu'il y a trop de faits troublants dans cette histoire pour se rallier définitivement à la thèse accidentelle ?
Que diriez-vous à ceux qui douteraient de vos contacts avec l'au-delà ?
Jean Pernin : Moi aussi au départ, j'étais très sceptique sur la communication avec l'au-delà. Pourtant, j'ai dû me rendre à l'évidence que cette communication pouvait exister d'abord à travers mon fils.
Je respecte les doutes, l'incrédulité de certains et je ne cherche pas à les convaincre. Toutefois, je leur demanderais de bien réfléchir à ce que l'on acquiert des morts. Il faut se préparer à la suite et corriger nos imperfections avant d'arriver dans l'au-delà. Notre monde de mensonge a un grand et urgent besoin de vérité.
Daniel Balavoine nous met en garde et nous demande de changer nos attitudes sinon l'avenir des générations futures pourrait être bien sombre. Avec ses amis de l'Invisible, il fait simplement pression sur les consciences. Je ne suis qu'un intermédiaire comme d'autres personnes qui œuvrent dans le même sens. Il désire que les âmes des responsables se libèrent d'un poids insupportable.
Si j'avais eu un autre intérêt que de rétablir la vérité, j'aurais questionné mon fils dès 1996 mais je ne l'ai pas fait.
Il faut admettre que cette affaire comporte bien des incohérences. Toutes mes questions sont légitimes.
On ne croit pas à la communication avec l'au-delà tant que l'on n'y a pas été confronté. Cette affaire vise à faire bouger les consciences, à avoir un autre regard.
Autant d'interrogations dont nous aurons sans doute un jour la réponse... Un chemin d'évolution doit encore se faire. Ma réflexion sur la disparition de Daniel Balavoine donnera peut-être un sens à la vérité...
Jean Pernin est l'auteur et le coauteur avec Marie-Madeleine Jacob de deux ouvrages intitulés « Passeport vers l'au-delà »et « Vers un monde d'amour ».
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